Révélations sur les dernières minutes de vie de Ousmane Tanor Dieng

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"Si quelque chose se produit, que le président de la République soit le premier informé. Il est mon supérieur parce qu'il est le père de la Nation. Mais sur le plan humain, je suis son grand-frère ..."

Avant de mourir, il était président du Haut Conseil des collectivités territoriales (HCCT) et secrétaire général du Parti socialiste (PS) s'est confié à son fils Pape Birame Dieng. Ce dernier, ses confessions en présence du chef de l'État, Macky Sall, le président malien, IBK, et d'autres personnalités qui ont déjà été défilées jusqu'à leur dernière demeure à Nguéniène, leurs dernières recommandations et ses dernières regrets.

«Si quelque chose est choisi, que le président de la République soit le premier informé. Il est mon supérieur parce qu'il est le père de la Nation. Mais sur le plan humain, je suis son grand-frère. Dis lui que je suis né enfant de la République et je mourrais enfant de la République », dit Pape Birame.

Son seul regret, dit-il à son fils aîné, c'est «de n'avoir pas pu continuer la mission qu'il m'avait assignée (à la tête) du HCCT. »Mais, grâce grâce, il a soutenu que« c'est la volonté divine »était si désirait jusqu'au bout. Dieu en a décidé autrement. Macky Sall, qui, dans son éloge funèbre, est décrit comme son ami fidèle (et) allié fidèle »depuis 2009.

Décédé lundi à Paris, 72 ans, Ousmane Tanor Dieng repose depuis hier, avec son père dans la mausolée familiale, dans son village natal de Nguéniène.