
Un massacre qui fait craindre un cycle de représailles entre communautés dans ce pays meurtri par la violence jihadiste depuis 2015
L’Organisation des Nations Unies demande une enquête «impartiale» après le massacre de 28 personnes au Burkina Faso Le Haut commissaire des Nations unies aux droits de l’homme, Volker Türk a appelé, samedi 7 janvier, les autorités de transition au Burkina Faso à mener une enquête «rapide, impartiale et transparente» après le massacre de 28 personnes à Nouna dans la nuit du 30 au 31 décembre, relate l’AFP.
En effet, les supplétifs de l'armée ont été accusés d'avoir tué 28 personnes à Nouna, chef-lieu de la province de la Kossi, dans la nuit du 30 au 31 décembre, un massacre qui fait craindre un cycle de représailles entre communautés dans ce pays meurtri par la violence jihadiste depuis 2015.
Malick Bassirou Diop