" Le chef de l’État nommera désormais le président du Conseil supérieur de la communication, l’organe de contrôle de la presse
Au Burkina Faso, une nouvelle loi fait grincer des dents, car elle porte sur l’organisation des médias : les députés de l’Assemblée ont donné leur feu vert et c’est désormais le chef de l’État qui nommera le président du Conseil supérieur de la communication (CSC), l’organe de contrôle de la presse, informe Rfi.
Les syndicats des journalistes s’alarment d’un recul démocratique.